Premiers pas avec le Cybook Odyssey HD Frontlight : une liseuse, ça sert à… lire ;-)

Ça a l’air idiot, mais c’est un peu ce que m’inspirent ces comparaisons entre liseuses et tablettes : forcément, les tablettes ouvrent la voie à toutes sortes d’applications, et séduisent donc un plus grand public. Elles sont aussi rapides (enfin, si pas trop bas de gamme…) et en couleurs. Quelle place pour l’encre électronique, là-dedans ?

Photo : le Cybook Odyssey HD Frontlight dans sa couverture, ouvert à l'écran d'accueil

L’écran d’accueil de la chose… (cliquer sur l’image pour agrandir)

Réponse : avec une tablette, on est devant un objet à tout faire, pas un environnement de lecture. Et si comme moi on est vraiment, vraiment fan de lecture… Eh bien il y a une niche pour les liseuses spécialisées !

D’où cette prise en main du Cybook Odyssey HD Frontlight, le dernier bébé de Bookeen, que je me suis offerte avec mes sous – non, je ne suis pas blogueuse sponsorisée. 😉

Question 1 : Pourquoi Bookeen ?

Parce que j’avais déjà eu auparavant leur première liseuse, le Cybook Gen3 (millésime 2007, ça ne nous rajeunit pas), puis le très agréable petit Cybook Opus, et que je fais confiance à la boîte… Et parce que je n’avais pas envie de faire profiter encore plus les géants du marché avec leurs systèmes frileusement bordés de murs commerciaux et techniques. Ni Kindle d’Amazon, ni Kobo by Fnac, donc ! Et puis j’avoue que oui, ça compte, pour moi, que Bookeen soit français. (1)

Question 2 : Et c’est facile à trouver ?

J’avais le choix entre commander directement sur Bookeen Shop, soit chez un revendeur : Cultura, Virgin, Decitre… Ils ne manquent pas en France et dans le reste de l’Europe, soit en ligne soit dans les magasins en dur. Dans mon cas, je suis allé au plus simple : le Virgin Megastore de Barbès, à deux minutes de chez moi ! (Ooouh, la veinarde que je suis.)

Question 3 : Et si on parlait sous ? C’est cher, non ?

Oui et non. Sur le site de Bookeen, l’appareil est à 149 €, contre 129 € chez Virgin comme chez d’autres grandes surfaces de produits culturels. (Non, pas la Fnac. Ni Amazon. Eux ont ne vendent que leur propre liseuse maison, point barre.)

Comptez 20 à 30 € de plus pour une couverture protectrice. Un peu dommage qu’elle ne soit pas incluse, ce n’est pas du luxe pour protéger la bête dans la poche ou le sac.

Notez que le prix Bookeen a un peu baissé depuis le mois de novembre, puisque le prix de lancement était de 159 €. Mais comme on voit sur la photo ci-dessus, le revendeur met aussi un lien direct vers son site de vente d’ebooks, avec son logo. Pas ma tasse de thé non plus, vu que je ne télécharge pas d’ebooks DRMisés…

Question 3 : Quoi, il faut passer par sa boutique pour les livrels ?!

Non, non, pas de panique. Ce qui est bien avec les Cybook, c’est qu’ils sont ouverts : on peut y mettre dessus des livres achetés sur n’importe quelle boutique en ligne (sauf Amazon, quelle suprise…) pour peu qu’il s’agisse des formats acceptés. Les plus fréquents dans le commerce, epub et PDF inclus évidemment.

Question 4 : D’accord. Trêve de blabla, si on voyait la machine ?

Très juste. Donc, je déballe, je vérifie que tout y est… On trouve aussi dans la boîte un câble USB/micro-USB pour brancher sur un ordinateur afin de charger et/ou transférer des fichiers ; ainsi qu’un bref livret de prise en main, qui vous explique que le manuel complet est chargé dans la mémoire de l’appareil. OK.

Je vous passe l’effet « rhoooh, c’est bô » des gadgets neufs, mais on n’est pas déçu. Le design du Cybook Odyssey HD Frontlight a de la gueule : tout fin, lisse, avec un bouton unique et sobre sous l’écran et les autres, discrets, sur bords… La coque est d’un noir velouté et l’écran gris perle.

Première surprise : ça me fait bizarre, une liseuse de cette taille (6 pouces de diagonale pour l’écran) après deux ans avec un petit Cybook Opus que, avec ses 5 pouces (à peu près un livre de poche), je pouvais tenir confortablement d’une seule main. Le Cybook Odyssey, lui, est un peu plus haut et large qu’un livre de poche moyen, mais plus fin. Mais tout s’arrange vite : une fois l’appareil dans sa couverture qui s’ouvre comme un livre (voir photo ci-dessus), on retrouve rapidement les gestes de la lecture « à l’ancienne » !

Le bouton d’allumage est sur le bord inférieur, à droite, à côté de l’emplacement pour carte MicroSD, du port micro-USB et d’une diode indicatrice, en allant de droite à gauche.

Une pression longue sur le bouton met en marche l’appareil : hop, c’est rapide ! Comparé à mon vieil Opus pourtant pas si lambin, on gagne quelques secondes. Première impression de l’écran : pas mal du tout, la finesse d’impression promise avec l’écran HD est au rendez-vous. Le confort de lecture y gagne. Et avec en plus 16 niveaux de gris, il est maintenant possible de visionner sans grincer des dents les ouvrages qui contiennent des illustrations ou diagrammes !

5) Et le fonctionnement ? Hmm ?

Là, j’avoue que ma première impression a été mitigée… les premiers essais avec l’écran tactile peuvent dérouter, même si on a l’habitude d’autres appareils tactiles ! Mais, heureusement, cela s’arrange assez vite.

L’interface de navigation de Bookeen reste basée sur les mêmes principes, avec le bouton du bas servant à appeler le menu contextuel. La page d’accueil est très pratique avec les raccourcis vers le dernier ouvrage consulté, la bibliothèque (avec mise en avant des textes récemment ajoutés), le navigateur internet et les réglages de l’appareil. Tout en bas, une barre d’état affiche le niveau de charge de la batterie, et si l’appareil est connecté en Wifi ou non.

Tiens, d’ailleurs, le Wifi : je l’ai testé, et si on est à proximité d’un hotspot, ça marche sans problème, la connexion se fait assez vite, donc un bon point de ce côté là. Le navigateur internet, basé sur Webkit, est simple mais efficace, avec une page d’accueil qui tout bêtement celle de… Google ! On ne sera donc pas dépaysé. Détail sympathiques : il y a quelques marque-pages enregistrés par défaut, dont Le Monde, Wikipedia et le Projet Gutemberg, qui permettront de faire ses premiers pas avec les fonctions internet de l’appareil et d’apprécier le confort de lecture qu’il offre dans un monde de texte.

Bien entendu, j’ai aussi rapidement été voir du côté d’une librairie en ligne, ici chez Feedbooks, qui offre un large éventail d’œuvres anciennes et modernes, en français, en anglais, italien, allemand et espagnol. Le site fonctionne très bien : on peut rechercher de livres par mots clefs ou en feuilletant les catégories, télécharger des extraits (très bon point pour Feedbooks par rapport à d’autres librairies en ligne), et le rendu des couvertures ne pose pas de problèmes…  J’ai testé le téléchargement avec des textes du domaine public : un clic, et c’est fait. Le livre téléchargé est directement placé dans la bibliothèque et apparaît avec l’étiquette « nouveau » dans la liste des textes récents sur l’écran d’accueil.

Rebelote avec la partie « librairie » du site :  sans bavure. Et sans DRM non plus, du moins on peut choisir de rechercher uniquement dans cette catégorie. Aussitôt le livre sélectionné, on peut payer par carte bancaire et télécharger directement depuis le Cybook, sans passer par la connexion à un ordinateur. Je sens que c’est une fonctionnalité que je vais devoir me restreindre d’utiliser… 😉

Mais si on n’a pas envie d’aller directement sur internet, il est très facile de transférer des livrels depuis l’ordinateur. Il suffit de brancher via le port USB, et tout système d’exploitation honnête devrait être capable de reconnaître l’appareil. Sous Ubuntu, en tout cas, il a été tout de suite reconnu en tant que volume de stockage externe. Et on peut déplacer des fichiers directement depuis le disque dur, ou bien utiliser pour cela un logiciel de gestion d’ebooks. Je n’ai pas testé (et pour cause !) le gestionnaire de livres sous DRM, Adobe Digital Editions… En revanche, pour les livres non verrouillés, je conseille chaudement Calibre, qui est libre, gratuit, existe en plusieurs langues et s’adapte à Windows, Linux et Macintosh.

6) Ça alors, que des points positifs, alors ?

Holà, je n’ai pas dit ça. En fait, j’ai eu un certain mal au début avec l’écran tactile, notamment pour cliquer sur les liens internet et pour me servir du clavier. Mais, après quelques essais et erreurs (irritants, j’avoue), j’ai fini par l’apprivoiser.

Une chose que je commence à apprécier à force de fréquenter les appareils tactiles, c’est que chaque écran est particulier.

C’est clair, le feeling de cette liseuse à affichage E-Ink tactile est différent que celui d’un téléphone ou d’une tablette LCD ou OLED : c’est un toucher plus proche du plastique que de la vitre, par exemple. Et le temps de réaction, même s’il a été réduit par rapport aux anciennes liseuses, reste sensiblement plus lent. Ici, la vitesse de rafraîchissement de l’encre électronique est un facteur limitatif. Heureusement, c’est une chose qui se sent moins au cours de la lecture, plutôt pendant qu’on parcourt la bibliothèque ou les réglages et menus ! Reste que cela oblige à utiliser le clavier tactile plus lentement que sur un smartphone. Mais, bon, on ne se sert pas vraiment d’une liseuse pour consulter le trafic RATP ou envoyer un courriel urgent…

Donc, se concentrer un peu, et ça vient. Et puis il faut apprendre de nouveaux gestes : pincer pour zoomer sur l’écran du navigateur internet, par exemple, ou faire un quart de tour avec le bout des doigts pour changer l’orientation de l’affichage…

À ce propos, je conseille très fortement de consulter le manuel d’utilisation qui est dans la bibliothèque : c’est là qu’on a la réponse à « comment changer la taille de caractères », « comment changer l’orientation de l’écran », « comment organiser la bibliothèque en dossiers »… Les réglages possibles sont abondants, depuis le choix de la langue (là encore un point fort, on peut même avoir son Cybook en grec, en russe, et en chinois – classique et simplifié) pour l’interface jusqu’au rythme auquel est rafraîchi l’écran.

7) Ah, d’accord. Et c’est vraiment bien pour lire ?

Ben oui. J’ai déjà parlé de la finesse de l’affichage, on n’y reviendra pas, mais c’est apprécié. C’est très bien aussi pour ce qui est des contrastes. Il y a quelques reflets en lumière artificielle, mais rien de bien gênant à mon goût.

Chose sympathique, il y a une centaine de livres déjà chargés dans la machine, la plupart des extraits de bouquins récents, mais aussi quinze titres des éditions Bragelonne, un éditeur de science-fiction, fantasy et thrillers qui a le bon goût de publier des livrels sans DRM. Au menu : Pierre Pevel, Mélanie Fazi, Stephen Baxter, Gudule, Serge Brussolo, Ange… De quoi plonger tout de suite dans l’aventure.

Le déplacement à l’intérieur d’un livre se fait bien sûr à l’écran tactile, en effleurant pour faire défiler les pages ; soit à l’aide des boutons situés sur les bords, un à gauche, un à droite ; soit à l’aide de la table des matières à laquelle le bouton du bas, qui appelle le menu contextuel, donne accès. Outre l’orientation de l’écran, on peut changer la taille et la police de caractère dans les livres au format epub, ou zoomer en avant et en arrière dans les PDF : de quoi permettre aux presbytes de ne pas se fatiguer les yeux.

J’ai testé brièvement ce qui est désormais un must pour les liseuses, apparemment : l’éclairage intégré. Bon, honnêtement, cela me laisse de marbre. Mais si on n’aime que les écrans blanc papier, ou si on veut lire en faible lumière ambiante (et prendre plein de photons directement dans la rétine…), on peut régler ce fameux « Frontlight ». Avec 20 niveaux d’intensité, là encore on est gâtés.

Il y a d’autres fonctionnalités bien agréables : un dictionnaire français intégré, Le Nouveau Littré, auquel on accède en touchant le mot à consulter ; la possibilité de surligner des passages et de mettre des notes et des marque-pages.

(Tiens, à propos des notes : j’ai vu sur Twitter que certains avaient du mal à cliquer sur les appels de notes. En fait, là aussi, c’est une question d’habitude : la zone à toucher est petite, mais l’écran est sensible, donc il faut juste prendre le tour de main. Ou plutôt de doigt !)

Je pourrais parler aussi de la capacité de stockage de l’appareil : 2 gigaoctets, qu’on peut augmenter de 32 Go avec une carte mémoire MicroSD. De quoi transporter une bibliothèque de plusieurs milliers de titres, si on les a…

8) Bref… Vous m’en mettrez une douzaine ?

Oui, si on est lecteur de fond, et si on veut investir dans un appareil pour lire confortablement sans être distrait par une messagerie ou des réseaux sociaux, mais qu’on veut pouvoir chercher sur Wikipédia en cours de chapitre, ou annoter le texte : le Cybook Odyssey HD Frontlight de Bookeen est une bonne machine, qu’on tient comme un livre mais qui a un ordinateur dans le ventre.

Si en revanche vous voulez surtout surfer sur la Toile, envoyer des messages, fréquenter les réseaux sociaux, alors voyez plutôt du côté des tablettes !

De mon côté… je vous laisse, j’ai quelques livrels qui m’attendent au chaud dans la liseuse.

P.S. Pour les questions plus pointues, notamment les comparaisons avec d’autres appareils, j’ai posté dans un billet plus récent les liens vers des forums d’utilisateurs de liseuses ainsi que les rubriques de support technique de Bookeen.

__________

(1) Comme tous les autres ou presque, l’appareil est fabriqué en Chine. Mais conception en France. Voilà.

50 réponses à “Premiers pas avec le Cybook Odyssey HD Frontlight : une liseuse, ça sert à… lire ;-)

  1. Héhé 🙂 Je l’ai reçu comme cadeau d’anniversaire, c’est ma première liseuse et comme toi j’en suis très contente 🙂

  2. Ah, ben c’est cool, ça ! 😉

  3. Bonjour Irène,

    Moi j’ai opté pour la Kindle Paperwhite, et j’en suis très satisfait aussi. J’avais une Opus de Bookeen, et finalement, je préfère largement le tactile !

    Mais très curieux également à propos de la Frontlight. J’aurais aimé en savoir plus sur la finesse de réglage de la luminosité. Pour moi, c’est clairement l’une des fonctionnalités de la Paperwhite qui fait la différence : la possibilité de pouvoir régler finement, ni trop lumineux ni trop peu, en particulier en condition de lecture dans des bureaux peu éclairés. Est-ce qu’il y a une barre de réglage de différents niveaux ?

    Autre chose qui aiguise ma curiosité : la Paperwhite, contrairement aux liseuses Kobo, ne gère pas (du moins avec les ebooks que j’ai consulté ou lus jusqu’à présent) les coupures de mot en fin de ligne. Est-ce que Bookeen le fait ?

    Tu parlais d’un renvoi vers la boutique Virgin : est-ce qu’il n’y a pas aussi une boutique de type Cultura sur la Frontlight ? Je dis ça, parce que j’ai vu pendant mes séances de dédicaces en Cultura qu’ils ne vendaient que des Bookeen, donc je pensais qu’il y avait quelque chose de ce genre. Voir aussi le site Cultura.fr, où la Frontlight apparaît en première page.

    Enfin, la Paperwhite offre, lorsque l’on est connecté (au Wifi ou au 3G, selon les modèles), la possibilité de surligner un passage, de le commenter et de le partager en ligne directement via la liseuse. Est-ce qu’une telle fonctionnalité est aussi disponible sur la Frontlight ?

    Bien d’accord avec toi sur la différence entre tablette et liseuse, en tout cas.

  4. Alan Spade : oui, le réglage de la luminosité est progressif, avec une barre de niveaux.

    Un autre atout de la Cybook Odyssey, c’est le PDF reflow, qui permet de modifier la mise en page de ces fichiers pour en rendre la lecture plus aisée. Par exemple, si vous avez deux colonnes sur une page, le PDF reflow va les mettre l’une à la suite de l’autre, ce qui évitera d’avoir à zoomer et scroller latéralement dans la page.

  5. Merci pour ce texte enthousiaste et convaincant. Savez vous s’il est possible d’ajouter des dictionnaires, étrangers notamment, utiles si on ne lit pas toujours en français ?

  6. @Cedre
    Audrey Bookeen29 novembre 2012 07:52
    [….

    Pour répondre à votre question, vous pouvez rajouter le ou les dictionnaires de votre choix et du moment qu’ils sont au bon format ils seront accessibles pour la recherche automatique (vous pouvez aussi créer les vôtres selon vos besoins avec cet outil gratuit créé par un utilisateur de Cybook : http://code.google.com/p/penelope-dictionary-converter/). NB : la langue de votre livre doit être correctement définie dans les méta-données du livre pour permettre la recherche automatique.

    source: http://fieffegoupil.blogspot.fr/2012/11/revue-la-liseuse-bookeen-cybook-odyssey.html#comment-form

  7. @Aldus : Cool 🙂

    @Céline : Merci de la précision, ça va être en effet bien utile !

    @Alan : Je confirme pour le réglage de luminosité. Il y a une barre de réglage fin (20 niveaux) tactile, à laquelle on accède par le bouton menu. Et bien sûr on peut désactiver tout à fait la fonction Frontlight.

    Pour les boutiques en ligne : oui, il y en a d’autres que Virgin. Je crois d’ailleurs que j’en parle dans l’article. Il y a un raccourci Virgin sur l’écran d’accueil de la mienne parce que j’ai acheté chez ce distributeur, mais on peut aussi lire avec ce Cybook des achetés sur les boutiques en ligne de Cultura, Decitre, la Fnac, Bookeen Store, Feedbooks, Immatériel, epagine.fr, Feedbooks, ou les boutiques d’éditeurs, comme Le Bélial’ ou Publienet… et bien sur les sites d’ebooks gratuits du domaine public et en CC. Seul le catalogue d’Amazon, qui n’est pas au format epub, n’est pas accessible. J’ai testé l’achat sur Feedbooks directement depuis le Cybook avec la connexion Wifi, et ça marche très bien. Pour les livres protegés par DRM, je n’ai pas essayé, mais le manuel indique qu’il s’agit du système Adobe ID, donc il faut avoir créé un compte sur le site d’Adobe, et si on télécharge à partir d’un ordinateur, il faut installer Adobe Digital Editions.

    Enfin, pour la gestion des césures automatiques, la réponse est oui : c’est possible sur le Cybook Odyssey HD Frontlight. Une fois qu’on a ouvert un livre, on appelle le menu contextuel (soit par le bouton du bas, soit en tapant deux fois rapidement sur l’écran) et de choisir « affichage » : l’option césure auto s’affiche. Ça marche sans problème. (Et c’est en effet bien pratique !)

  8. Merci pour ta réponse précise, Irène. Heureux de voir que le Frontlight est un concurrent très sérieux pour les Kindle et Kobo.

    Pour le Paperwhite, une option dont je n’avais pas parlé est aussi de pouvoir envoyer sur une adresse e-mail générée par amazon, et qui te corresponde, des fichiers, ce qui peut être pratique si quelqu’un veut t’envoyer un ebook directement sur ton kindle, ou si tu as oublié ton cordon USB par exemple et que tu veuilles te transférer un ebook à partir d’un PC ou Mac.

    Et sinon, il y a aussi un navigateur sur le Paperwhite, qui permet apparemment de bookmarker des sites. Je ne l’ai pas testé à fond, parce que pour l’instant, je veux évaluer l’autonomie totale du Kindle en mode déconnecté.

    L’absence de césure reste un handicap pour Kindle, cela dit, il faudra que je me renseigne pour voir si avec les nouveaux formats de type AZW3, c’est géré. Cela n’apparaît en tout cas pas dans les options du Paperwhite.

    • Oui, ce Cybook est une alternative très intéressante aux Kobo, Kindle et Sony Reader à mon avis. D’après ce que tu me dis, le Kindle Paperwhite a plus de fonctionnalités de partage via le réseau. Cela dit, le navigateur du Cybook permet tout à fait de gérer les marque-pages. Mais pas le copier-coller d’extraits, apparemment. (Du moins je n’ai pas trouvé.) Une autre fonction qui serait bien utile : la possibilité de chercher un mot ou une expression à l’intérieur d’un livre.

      • C’est intéressant de partager nos expériences. Le Kindle Paperwhite permet de rechercher des mots ou expressions selon plusieurs critères : « ce livre », « mes éléments » (tes dossiers où tu classes tes livres, que tu crées toi-même), « boutique kindle », « dictionnaire » et « wikipédia ». (Pour le dictionnaire, comme pour le Bookeen, il suffit de surligner un mot pour en avoir la définition, pas besoin de passer par le moteur de recherche).

        Intrigué, j’ai testé la recherche sur « Mes éléments » : le moteur de recherche te fait bien la recherche sur tous tes livres de ta bibliothèque embarquée, en te donnant le nombre d’occurrences par ouvrage. Je n’ai pas encore testé sur la boutique kindle, je suppose que cela fait la recherche sur tes livres dans le cloud.

        Cela peut s’avérer très pratique si tu suis une série de livres, avec un personnage secondaire dont tu ne te souviens plus qui il est, qui apparaît pour la première fois dans le tome 2, par exemple, que tu lis, et qui jouait déjà un rôle dans le premier tome. Non, non, je ne pense pas à la Roue du Temps et ses quelques 2000 personnages… 😉

        • C’est intéressant en effet. Personnellement, je ne veux du Kindle à aucun prix, pas après les affaires de désinstallation de livres après achat. Après, chacun fait ce qu’il veut.

          Mais c’est toujours bon de voir ce qui se passe côté lecture numérique. Par exemple, avec la sortie du Lideo de Toshiba au Japon, avec des caractéristiques proches de celles du Kindle, il pourrait y avoir encore des rebondissements dans le secteur : http://www.actualitte.com/ebook/japon-le-lideo-de-toshiba-rivalisera-avec-le-kindle-d-amazon-38794.htm

          On voit clairement un rapprochement entre les liseuses et les tablettes d’entrée de gamme pour lecture/messagerie/internet, avec en parallèle un marché des tablettes multimédia et jeu (plus chères) qui se développe. Cela me rappelle un peu le cas des machines de traitement de texte qui ont résisté un bon moment dans les années 80 à l’arrivée des vrais micro-ordinateurs polyvalents et… accessibles !

          • Je suis convaincu pour ma part que les affaires de désinstallation de livres après achat sont des cas rarissimes montés en épingle par les concurrents directs ou indirects d’Amazon, et que la société n’a pas du tout intérêt à reproduire ce genre de cas. Il y a de toute façon des précautions élémentaires à prendre pour se garantir de cela, comme de dupliquer ses ebooks (il y a moyen de contourner les DRM). Mais bon, je ne veux pas polémiquer là-dessus.

            Pour ma part, deux choses sont entrées en ligne de compte dans mon choix du Paperwhite : l’aspect technologique et la politique envers les auteurs indépendants sur les sites d’Amazon, qui devait clairement être récompensée selon moi. Même si je suis en revanche tout à fait opposé à KDP Select et à la notion d’exclusivité de la distribution sur telle ou telle machine.

            Oui, c’est rassurant de voir que les liseuses électroniques se maintiennent malgré les tablettes. Les constructeurs jouent clairement sur les deux tableaux, Kobo proposant sa propre tablette à présent. Les Japonais étaient entrés très tôt dans l’ebook avec Sony, dès 2006. Avec le Lideo, ils se dotent d’un nouvel outil, et comme les Japonais ont la fibre patriotique, je ne doute pas que ce sera un marché très difficile à conquérir pour Kobo et Amazon. Fabrice pourra suivre ça de très près. 😉

  9. « Je suis convaincu pour ma part que les affaires de désinstallation de livres après achat sont des cas rarissimes montés en épingle par les concurrents directs ou indirects d’Amazon, et que la société n’a pas du tout intérêt à reproduire ce genre de cas. »

    Avant de faire des suppositions gratuites (et passablement insultantes, soit dit en passant), il vaudrait mieux vérifier :
    http://www.numerama.com/magazine/24076-amazon-elle-perd-tous-ses-livres-kindle-achetes-sans-explication.html

    Il y avait eu auparavant l’affaire des titres d’Orwell effacés après achat (y compris les annotations que les lecteurs, notamment des étudiants, avaient pu y faire, bref perte d’un contenu personnel) sans que les acheteurs aient été prévenus :
    http://www.ecrans.fr/Big-Brother-Amazon-la-surprise,7766.html

    Les deux exemples en question proviennent d’un « couac » des éditeurs et d’Amazon lui-même (dans un cas un problème de disponibilité ou non des titres sur un territoire, dans l’autre de différence de durée du copyright entre territoires), mais ce sont des clients qui au final se trouvent traités comme des « cochons de payants ». Et non, il n’est pas suffisant de dire « on peut aussi se débarrasser des protections numériques » : ce n’est pas techniquement à la portée de tout le monde, et c’est même illégal dans certains pays. Aux USA, par exemple, seuls les handicapés visuels ont le droit de le faire pour les ebooks :
    http://www.actualitte.com/legislation/etats-unis-retirer-les-drm-n-est-plus-illegal-pour-les-lecteurs-handicapes-37760.htm

    Ces affaires ne sont pas liées à une guéguerre entre vendeurs, mais bien des symptômes d’un état de fait dénoncé depuis longtemps par les défenseurs du « libre » : on n’achète pas un livre (ou musique, ou jeu…) sous DRM, on loue une licence, et parfois cher. Amazon a été plusieurs fois en cause parce qu’il est leader sur le marché du livre, mais il est loin d’être le seul (voir ce que dit l’article de Numerama cité plus haut sur des affaires similaires sur la plate-forme de jeux vidéos Steam). Ceci pour rassurer, j’espère, les fans du Kindle que ce n’est pas du parti-pris de ma part ! Je ne veux pas non plus d’Apple iBooks ni de Kobo by Fnac. Il s’agit eux aussi d’aspirants au monopole.

    Comme je disais plus haut, libre à chacun ensuite de choisir ses priorités. J’exprimais les miennes. Reste qu’il est un peu agaçant, quand je fait un billet sur mon expérience avec une liseuse, de voir quelqu’un arriver et consacrer plusieurs commentaires à un autre appareil… Désolée, cher ami, mais : hors sujet !
    Post scriptum :

    • Désolé d’avoir orienté la conversation là-dessus Irène. Je connaissais les cas que tu as cité. Je reste persuadé qu’à l’ère du numérique, les grandes entreprises sont beaucoup plus fragiles qu’elles n’y paraissent, et ne doivent pas répéter ce genre de fautes trop souvent.
      Et quand on parle de sociétés qui veulent devenir des monopoles, il y aurait beaucoup à dire, mais le débat en deviendrait presque philosophique.

  10. Bonsoir,

    Cet article m’a ; en partie, décidé à comander l’Odyssey HD, cependant :

    Je connais 2 personnes qui l’ont et donc le problème suivant se manifeste :
    En cours de lecture, après 4 ou 5 pages, il faut appuyer 2 fois sur le bouton « page suivant » ou touche tactile sur l’écran(c’est idem) pour passer à la suite, seulement ça saute directement de 2 pages…

    Avez-vous rencontré ce problème ?

    Merci à vous

    • Non, cela ne m’est pas arrivé, ni avec un livre au format epub, ni en PDF. En revanche, comme je l’ai dit dans l’article, il peut falloir un petit moment pour s’habituer aux sensations de l’écran du Cybook, surtout si on a l’habitude des smartphones (pas de retour haptique, par exemple). Et dans ce cas il peut arriver qu’on presse deux fois successivement par mégarde, j’imagine.

  11. Merci pour ta réponse éclair, Irène, c’est sympa 🙂

    Ça me rassure un peu ; avant j’avais une Sony PRS650 dont j’étais pleinement satisfait, je vais pouvoir comparer…

  12. Bonjour Irène et merci pour ton article très intéressant. Pour ma part, j’ai pris en main la bête dans un magasin à Paris et j’ai été un peu gêné par les reflets des spots au dessus de l’écran. Est-ce que tu as ressenti ce phénomène dans la « vraie vie » ? C’est ce qui me fait encore hésiter avec la Sony.
    Merci d’avance pour ton retour d’expérience.

  13. Salut Jean Paul, j’ai l’Odyssey depuis hier et ai lu quelques heures avec, avant j’avais une Sony PRS650 et le traitement anti-reflet est de même qualité… CaD très bon. Si chez toi il y a une lampe halogène puissante, il faudra t’orienter en conséquence, comme pour type d’écran de toute façon.

    • Bonjour, je confirme ce que dit Yano : à l’usage, les reflets ne sont pas trop gênants sur le Cybook Odyssey HD en lumière artificielle. Par rapport à mon vieux Cybook Opus (qui n’avait pas de couche tactile, donc un écran quasi sans reflets), je n’ai pas ressenti de grosse différence. Et cela sans utiliser la fonction Frontlight, l’éclairage de l’écran, qui permet de compenser les reflets si on le désire. (Perso, je n’aime pas trop cette luminosité de l’écran, mais c’est une question de goût.)

  14. Merci à Yano et à Irène pour votre réponse rapide. Je crois que je vais craquer avant Noël…

  15. C’est une bonne liseuse, par contre chez moi le cordon usb fourni était HS, il rechargeait bien la batterie mais la liseuse n’était pas reconnue par le PC (ennuyeux pour transférer sa bibliothèque 🙂 )

    Donc si ça t’arrive, change de cordon 🙂

  16. Bonsoir,
    Certains cordons sont dédiés à l’alimentation et ne conviennent pas pour le transfert de données (USB/Prise spécifique). C’est le cas avec des téléphones ça oblige le consommateur à acheter un cable « données » (à un prix défiant toute conrurence).

    • Dans le cas d’un appareil récent comme le Cybook HD (donc logiquement sous garantie), je suggère tout de même de commencer par contacter le SAV si on un trouve dans la boîte un câble défectueux ! Voir leur site Bookeen.com 😉

  17. Bon, j’ai aussi ce problème aléatoire de pages qui ne tournent pas puis qui en tournent 2 d’un coup.

    Je connais à présent 3 personnes en dehors de moi qui ont ce souci…

    Il semble probable que cela soit un souci logiciel car en tournant les pages sans les boutons (en mode tactile) le bug survient également.

    Ce qui m’étonne c’est qu’apparemment cela n’affecte pas tout le monde.

    Une personne a mailé sur le support Bookeen depuis 15 jours, sans réponse…

  18. bonjour,
    j’ai aussi de temps en temps ce problème de pages : deux qui tournent au lieu d’une, mais je sais pas si j’ai trop fait « chauffer » la liseuse : retour en arrière, puis en avant, puis une note de prise, puis reprise de lecture ? Comme il y a un temps de latence, peut-être faut-il y aller plus doucement ?

    sinon, quelqu’un saurait comment retrouver ses annotations ? retrouver les mots surlignés c’est facile, y’a qu’a toucher l’écran, mais j’arrive pas à me « relire », si je puis dire…

  19. en fait il suffit d’effleurer subrepticement la note…évidemment allez-vous me dire…mais même en sachant cela je n’y arrive qu’une fois sur 5 pour l’instant…

  20. et la deuxième page qui se tourne au lieu d’une seule je suppose maintenant que ça se passe quand on attend pas la fin du moment de latence…

  21. Ces problèmes pour tourner les pages semblent liés au logiciel, dans ce cas je conseille de consulter les FAQ du support technique de Bookeen :
    http://www.bookeen.com/supportcontact
    (Tout particulièrement celles sur le logiciel et la mise à jour.)

    Ou bien c’est une question d’habitude, car l’écran du Cybook n’est pas aussi rapide de réaction que celui d’une tablette ? « Hâte toi lentement », comme dit le proverbe… et soit cool avec l’e-ink 😉

    Ou bien on peut aussi décider que les liseuses ne sont pas faites pour vous. Question de goût.
    .

  22. Pingback: Mon Cybook et moi (suite) : questions pour Bookeen — et les utilisateurs | L'Extérieur de l'Asile

  23. Bonjour,
    Je possède cette liseuse depuis une quinzaine de jours et en suis pleinement satisfait. L’éclairage est ce qu’il m’importait le plus dans mon choix, je lis beaucoup la nuit, dans le lit et ne veux pas réveiller ma moitié.
    Luminosité au minimum, appareil coincée entre le pouce et l’index et ça y est, je suis parti pour deux à trois heures. La batterie n’est toujours pas déchargée. En plein jour je n’ai jamais été gêné par des reflets, et je trouve la lecture très plaisante, évidemment, ce n’est pas un livre, mais c’est agréable. J’utilise plus le toucher que les boutons pour tourner les pages, le temps de latence entre deux pages me semble correspondre environ au temps que l’on met à tourner la page d’un livre papier.
    Enfin, son poids est sans commune mesure avec la tablette (acer a100) que j’utilisai auparavant.

    Je n’ai qu’un seul regret, ne pas avoir d’offre de livres récents sans passer par Adobe Digital Éditions. lequel ne fonctionne pas sous distributions linux (et je ne suis pas sûr que cela tourne bien en virtualbox). Enfin, par principe je suis anti-DRM.
    Heureusement on arrive à trouver quelques offres sans verrou, mais si je veux reconstituer ma bibliothèque « papier » dans ma liseuse, je ne vois aucune proposition sans ces limites. Si quelqu’un connaît une solution, je suis preneur.

  24. Très satisfait aussi de cette liseuse. Deux points noirs cependant: Je n’ai pas réussi a téléchargé des livres gratuit via virgin, blocage lors de la demande de carte bancaire.. d’autre don son aurait été le bienvenu

  25. Bonjour et merci pour cet article très intéressant car je n’ai pas trouvé d’autre test de cette liseuse pour le moment. Est-ce qu’une personne pourrait me dire les principaux avantages de celle-ci par rapport à la Fnac Kobo Glo svp ? J’envisage l’achat d’un de ces appareils et ne voudrais pas me tromper… Par contre je refuse catégoriquement l’offre Kindle qui d’après ce que j’ai lu limite la compatibilité au catalogue Amazon. Merci d’avance pour vos avis et éclairages.

  26. Pour ceux qui ont des questions plus pointues (notamment la comparaison avec d’autres appareils), je rappelle ce billet récent, avec des liens vers les forums d’utilisateurs :

    Mon Cybook et moi (suite) : questions pour Bookeen — et les utilisateurs


    😉

    Sinon, sur la question de Christian : je n’ai pas essayé la boutique en ligne de Virgin, mais j’ai pu sans problème depuis mon Cybook Odyssey HD acheter des ebooks sur Publie.net et sur Feedbooks.com. Il faut dire que c’était seulement des livres sans DRM : attention de lire le manuel de l’utilisateur, rubrique « DRM Adobe », avant de se lancer dans l’achat de livres protégés ! Pour savoir si les livres sont protégés, cela dépend des éditeurs et des boutiques. Sur Feedbooks, par exemple, le mode de protection est signalé pour chaque titre. Cela rend les choses plus claires.

    Enfin, avec Amazon, c’est un peu toujours le problème du « tout ou rien » : on peut acheter dessus des livres avec un Kindle, mais pas avec un Kobo ou Sony ou Cybook…

  27. Bonjour,
    J’ai une Bookeen Odyssey et mon poste informatique est sous Ubuntu.
    Je confirme ce que vous avez dit concernant la prise en main, le confort d’utilisation et de lecture. Au lit, je préfère lire sur ma liseuse que dans un livre papier…
    Concernant Ubuntu, j’ai installé Wine, pusi Adobe digital Reader dasn Wine. Ce qui m’a permis d’acquérir quelques livres avec DRM. Transférer sur la liseuse les fichiers avec DRM n’est -hélas, mille fois hélas- pas possible. Je procède donc à une manipulation peu légale (c’est le moins que je puisse dire) pour que mes ebooks puissent glisser sur ma liseuse. Je ne suis pas devenu du même coup un distributeur de mes livres avec DRM ! Quand les éditeurs vont-ils se rendre compte que les lecteurs ne sont pas tous des délinquants, et qu’un marquage dans la filigrane du ebook est bien suffisant pour faire la preuve d’un achat en règle.

  28. Bonjour, je possède une Frontlight depuis 15 jours, je dois dire que je l’ai achetée essentiellement pour le pdf reflow et je ne suis pas déçu sur ce point là.
    En revanche, une fonction de recherche dans le livre en cours fait vraiment défaut. D’autre part, il me semble qu’on ne peut pas choisir entre un dictionnaire anglais -> français ou anglais -> anglais, (c’est soit l’un soit l’autre).
    Enfin je n’arrive pas à « sélectionner » de livre dans la bibliothèque sans l’ouvrir. Par exemple si je veux supprimer un livre, je suis obligé de le toucher, ce qui l’ouvre, puis de revenir à la bibliothèque pour le supprimer. Est-ce normal ?
    Autrement, excellente liseuse.

    • Bonjour,
      C’est vrai, une fonction de recherche dans le livre en cours fait vraiment défaut et c’est d’ailleurs en cherchant une mise à jour du logiciel Bookeen dans ce sens que j’ai trouvé votre remarque.
      En ce qui concerne l’utilisation de plusieurs dictionnaires de langues différentes, il suffit de les trouver et les installer, et le dictionnaire de la langue correspondant au livre s’ouvrira automatiquement sauf si l’entete du fichier epub ne contient pas d’indication de la langue auquel cas c’est la langue par défaut qui sera utilisée.
      Salutations.

  29. Bonjour, est ce que c’est possible de transférer des livres qui existent déja sur mon ordinateur ( je les ai téléchargée un peu partout facebook … d’autres site ) sur cette liseuse et les lire sans aucun problèmes, je n’ai pas tout compris au DRM ! … est il vrai que la vie d’une liseuse est courte ( 2 ans a 3 ans ). je veux acheter une liseuse mais j’hésite encore entre un netbook et le .Cybook Odyssey merci.

  30. Bonjour!
    En fait – la « librairie » – ca marche comment? Est-ce que c’est que pour les livres Adobe-DRM? Donc pas de besoin de se registrer si on ne veux pas les DRM?

    Et est-ce qu’il y a un moyen de transferer les livre (automatiquement) via WiFi? Par email? Je veux lire mon journal (epub/mobi/pdf/…) quotidien sans toujours log-in sur leur site…

    Merci!

  31. Bonjour,

    J’ai actuellement un cybook odyssey, le 1er. Il est plutôt galère à allumer, sur le frontlight, c’est maintenant un bouton, donc plus facile. Par contre, ce bouton sert-t-il également à éteindre complètement l’Odyssey (sur le 1er, le bouton « poussoir » ne sert qu’à mettre en veille, pour éteindre il faut aller dans un menu et ensuite galère à rallumer par le bouton « poussoir »

  32. bonjour , j’ai eu la liseuse ce matin , pouvez vs me dire comment supprimer les livres en langue etrangères mis par défaut et comment on supprime un livre aussi que j’aurais mis dans la bibliothèque
    merci ( suis ultra débutante première liseuse )

    • En branchant la liseuse sur un ordi pour la prise USB, tu t’en sers comme d’une clef USB et tu peux classer les livres, les supprimer etc….. Penses à faire une sauvegarde sur ton ordi avant.

    • Edith, voir la réponse de Bcricri (et le conseil de faire une sauvegarde avant tout). Pensez aussi à consulter le manuel du Cybook, qui est normalement dans la mémoire de l’appareil, avec les autres titres gratuits. Si vous ne le trouvez pas, il suffit de le télécharger gratuitement sur le site de Bookeen :
      http://www.bookeen.com/fr/support_download
      (Il y a un formulaire d’inscription, puis vous avez accès aux manuels et aux mises à jour de l’appareil.)

  33. merci pour votre aide et pour vos conseils , j’ai pu oter les livres qui ne m’intéressaient pas du tout ! j’aurais surement besoin de précisions pour d’autres tites choses prochainement alors je vous dis à bientôt et merci encore d’avoir répondu rapidement , c’est très sympa !

  34. bonjour je viens d avoir ma première liseuse cybook odyssey, mais je n arrive pas a télécharger de livre par le biet de mon pc….merci de votre aide.

  35. Moi aussi j’ai acheté une cybook odyssey pour les mêmes raisons, et surtout car elle est conçue en France, j’en suis très satisfaite. J’utilise beaucoup la fonction frontligh pour lire dans le noir, et je me trouve très à l’aise, on a la possibilité de régler l’intensité très précisément. et la lecture reste reposante pour les yeux. Je recommande!

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