
Je vous en avais parlé : j’ai écrit il y a quelques années un roman sur l’impératrice Hélène, mère de Constantin, réputée avoir « trouvé » la Croix du Christ à Jérusalem au IVe siècle de notre ère. Du moins est-ce la légende.
À quoi pouvait-elle ressembler en réalité ? Que pensait-elle, chrétienne convaincue, des réalités politiques peu édifiantes de l’empire romain ? En particulier des intrigues au sein de la famille impériale ? En fait, on n’en sait rien. Elle n’a laissé aucun texte ni témoignage, et même ses portraits présumés ne sont pas contemporains. L’épisode le plus connu de sa vie est le voyage en Orient qu’elle a accompli à la fin de sa vie, alors qu’elle devait approcher de 80 ans… Pas mal pour une « Indiana Jane » !
Cela avait piqué ma curiosité. Alors j’avais été fouiner dans les bouquins d’histoire antique. Il n’y a pas trente-six méthodes : documentation, documentation, documentation. Et ce que j’ai trouvé est souvent à la fois plus étrange (saviez-vous que les Romains avaient entendu parler de la Grande Muraille de Chine ?) et plus familier qu’on aurait pu croire (la « guerre froide » entre Rome et la Perse en rappelle étrangement une autre)…
Le résultat, il est à paraître le 21 janvier 2022 aux Éditions du 81 : Augusta Helena, Tome 1 : Énigmes en Terre Sainte.
(Oui, le bouquin est long, donc découpé en deux volumes. Le second est prévu pour cet automne.)
Et bien sûr on peut le précommander chez Amazon, la Fnac, Cultura, Gibert, la Procure, le Furet du Nord et toutes les bonnes librairies.