Retrouvez-moi sur Post et autres réseaux

(Mise à jour du 20/04/2024 : Hélas, c’est fini pour Post, l’entreprise a mis la clef sous la porte. Dommage, c’était sympathique.)

Depuis que j’ai quitté Twitter (sans regrets), je passe plus de temps sur d’autres réseaux sociaux. Je maintiens ainsi une présence sur Facebook, LinkedIn et Instagram, par nécessité, mais ce sont Post et Notes qui occupent désormais le plus de temps pour moi, aussi bien pour découvrir des infos et des voix intéressantes que pour poster à mon sujet.

(Mise à jour du 23/12/2023 : j’ai moins d’intérêt pour Notes aujourd’hui, à cause de ce qu’on peut appeler le « problème Nazi«  de Substack. Je vais certainement limiter mon activité sur cette plateforme à l’avenir.)

En-tête de l'écran d'accueil de Post.news, avec le titre "Post" et les onglets "Following", "News" et "Explore"

J’aime bien le format original de Post.news et son ouverture sur le monde. Mais il faut avouer que l’interface n’est pas encore finalisée. En particulier, il n’y a pas encore d’appli pour Android. Ça limite un peu les possibilités, même si par ailleurs le design est élégant et la richesse de sources impressionnante. On trouve désormais notamment sur ce réseau de grands médias et agences de presse du monde entier.

Hélas, encore peu de francophones… Même si ça tend lentement à s’améliorer.

On peut faire le même reproche à Notes, l’appli liée à la plateforme Substack. Celle-ci a pourtant une longueur d’avance question ergonomie, et il devient vraiment pratique et agréable de lire et discuter sur l’application.

Surtout, c’est la diversité des points de vue liée à une diversité d’expertise qui rend déjà Notes indispensable. Histoire, géopolitique, médecine, génétique, technologie, économie, mais aussi édition, cinéma, politiques publiques, droit, photographie… Les auteurs sur Notes sont aussi variés que sur Substack, et cela donne un étrange sentiment de se retrouver aux débuts de Twitter, pour ceux qui l’ont connu avant grosso modo 2015, quand le rapport signal/bruit était largement favorable au premier.

C’est évidemment pour l’essentiel en anglais, même si Substack a commencé récemment à traduire son interface, et si on peut découvrir ici et là des publications dans d’autres langues.

J’ai déjà moi-même lancé mon Substack en français, et j’espère qu’il y aura bientôt beaucoup d’autres curieux et curieuses pour rejoindre le mouvement.

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