Intrusions poétiques

J’ai dans la tête ces temps-ci un poème de T. Roethke, «The Waking»:

I wake to sleep, and take my waking slow.
I feel my fate in what I cannot fear.
I learn by going where I have to go…

Pourquoi? Oh, diverses choses… Et puis je repense souvent à ce strip d’Ozy and Millie où je l’avais découvert, et surtout ce dialogue, dans la dernière case:

«You know, a lot of people can’t relate to poetry.»
«I have the opposite problem. Let’s go watch cartoons.»

Eh oui, j’ai aussi parfois ce «problème inverse». Dans la vie, parfois, ce sont des textes littéraires qui vous parlent le plus, qui expriment le mieux ce qu’on ressent.

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