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Augusta Helena : en attendant le tome 2, on déguste le premier

Augusta Helena, 1 : Énigmes en Terre Sainte, par Irène Delse, éditions du 81, janvier 2022

C’est le roman le plus ambitieux que j’ai écrit à ce jour, si je peux faire sonner un peu ma propre trompette : vaste, fourmillant, picaresque… Mais avec une intrigue dont tous les fils se nouent, sans en perdre en route, avec parfois des échos qui résonnent à des centaines de pages de distance.

Et c’est en même temps un roman policier, mais oui ! Le tome 1, paru en janvier de cette année, posait une double énigme : Qui a manigancé la mort de Crispus et Fausta, le fils et l’épouse de l’empereur Constantin ? Et qu’est-ce qui fait régner la terreur au monastère de la Tentation, en Palestine, au point qu’on parle d’influence du Malin ?

Des questions qui se posent à mon héros, Lucius, plutôt sceptique par nature, mais qui devra débrouiller des affaires d’intrigues de palais aussi bien que de controverses ecclésiastiques. Mais quand l’impératrice Hélène, mère de Constantin, vous donne une mission, pas question de refuser, évidemment !

Augusta Helena, t.1 : Énigmes en Terre Sainte, par Irène Delse, aux éditions du 81, 16,90€. Toujours disponible dans les Fnac, chez Amazon, Cultura et autres bonnes librairies. Le tome 2 devrait paraître le 2 décembre.

Augusta Helena, t.1, Énigmes en Terre Sainte : c’est parti ! #Roman

Couverture du roman : dessin d'une femme en costume byzantin avec de nombreux bijoux, et tenant le montant d'une croix
Augusta Helena, t. 1 Énigmes en Terre Sainte, par Irène Delse, éditions du 81, ISBN 978-2915543643

« An 326. L’empereur Constantin vient d’unifier l’Empire après des décennies de guerre civile. Converti, il favorise peu à peu l’Église tout en ménageant l’aristocratie romaine, attachée aux anciens cultes païens. L’aristocrate Lucius Aurelius enquête discrètement sur la disparition récente du populaire prince Crispus, fils aîné de Constantin. Pendant ce temps, la vieille mère de l’empereur, l’impératrice Hélène, reçoit les plaintes de deux religieuses à propos de disparitions inexpliquées dans un couvent possédé par le Malin. Mais c’est la découverte des reliques de la Croix du Christ à Jérusalem qui préoccupe encore plus l’Empire. C’est ainsi qu’Hélène, Lucius et l’évêque Ossius partent ensemble, sous les ordres de Constantin, en direction de l’Orient pour élucider ces mystères. Le cortège impérial devra lutter contre des espions perses, des bandits, des faussaires, des accusations d’hérésie, et même une épidémie de peste dans un roman magnifique où le suspense est à son comble. »

Telle est la présentation de mon nouveau roman noir historique, Augusta Helena, t.1, Énigmes en Terre Sainte, dans le catalogue des Éditions du 81. Oui, c’est juste le 1er tome, vu la taille du manuscrit… Mais le tome 2 est prévu pour cet automne.

Et bien sûr on peut le trouver chez Amazon, la Fnac, Cultura, Gibert, la Procure, le Furet du Nord et toutes les bonnes librairies.

« Du sang sur les dunes » réimprimé et de retour en librairie

Couverture du roman : bateaux à voile près d'une digue, sur une mer agitée
Du sang sur les dunes, polar historique signé Irène Delse, paru le 20 août 2021 aux éditions du 81 (ISBN 978-2-915-54373-5)

« À l’été 1805, le capitaine Antoine Dargent enquête sur la mort mystérieuse d’un ingénieur à Calais, en marge de l’immense armée réunie par Napoléon pour attaquer l’Angleterre. Quand il réalise que les plans de l’ingénieur concernaient un nouveau type d’arme capable de briser la supériorité maritime des Britanniques, il doit rapidement reconstituer les papiers manquants avant d’être lui-même victime d’agents anglais prêts à tout pour tuer dans l’œuf une telle invention… »

C’est la 4e de couverture de mon roman Du sang sur les dunes, un polar historique qui devrait faire rêver même des gens qui connaissent bien la période, car tous les éléments sont vrais… C’est juste leur rapprochement qui relève de la fiction. Je n’en dis pas plus, on verra que le sort de la France sous ce 1er Empire déjà mondialisé se décidait parfois très loin de nos côtes, et que la rivalité technologique n’était pas moins rude que celle sur les champs de bataille. On peut en sourire aujourd’hui, vu les liens d’amitié liés depuis avec les Britanniques (au Brexit près), mais en 1805, l’ennemi numéro un était toujours la « perfide Albion », et sa puissance fascinait autant qu’elle agaçait. Et l’Empire de Napoléon inquiétait lui aussi déjà pas mal de monde.

Un roman à dépayser, donc, que je m’étais bien amusée à écrire. Et si on y trouve des échos de problèmes actuels, ou plutôt éternels (préjugés racistes, confiance ou non dans la vaccination, lanceurs d’alerte qu’on n’écoute pas…), eh bien, ce n’est pas du tout involontaire.

Où le trouver ? Ça tombe bien : il vient d’être réimprimé et est donc de retour chez Amazon et dans toutes les bonnes librairies ou grandes surfaces culturelles : Fnac, Cultura, Gibert Joseph (celui de Barbès)… Et bien sûr les librairies du groupe Furet du Nord, pour qui c’est un sujet d’intérêt régional.

« Du sang sur les dunes », un roman et un vrai cadeau (oui, la fin de l’année approche)

Du sang sur les dunes, polar historique signé Irène Delse, paru le 20 août 2021 aux éditions du 81 (ISBN 978-2-915-54373-5)

« À l’été 1805, le capitaine Antoine Dargent enquête sur la mort mystérieuse d’un ingénieur à Calais, en marge de l’immense armée réunie par Napoléon pour attaquer l’Angleterre. Quand il réalise que les plans de l’ingénieur concernaient un nouveau type d’arme capable de briser la supériorité maritime des Britanniques, il doit rapidement reconstituer les papiers manquants avant d’être lui-même victime d’agents anglais prêts à tout pour tuer dans l’œuf une telle invention… »

C’est la 4e de couverture de mon roman Du sang sur les dunes, un polar historique qui devrait faire rêver même des gens qui connaissent bien la période, car tous les éléments sont vrais… C’est juste leur rapprochement qui relève de la fiction. Je n’en dis pas plus, on verra que le sort de la France sous ce 1er Empire déjà mondialisé se décidait parfois très loin de nos côtes, et que la rivalité technologique n’était pas moins rude que celle sur les champs de bataille. On peut en sourire aujourd’hui, vu les liens d’amitié liés depuis avec les Britanniques (au Brexit près), mais en 1805, l’ennemi numéro un était toujours la « perfide Albion », et sa puissance fascinait autant qu’elle agaçait. Et l’Empire de Napoléon inquiétait lui aussi déjà pas mal de monde.

Un roman à dépayser, donc, que je m’étais bien amusée à écrire. Et si on y trouve des échos de problèmes actuels, ou plutôt éternels (préjugés racistes, confiance ou non dans la vaccination, lanceurs d’alerte qu’on n’écoute pas…), eh bien, ce n’est pas du tout involontaire.

Où le trouver ? Dans toutes les bonnes librairies ou grandes surfaces culturelles : Fnac, Cultura, Gibert Joseph (celui de St-Michel et à Barbès)… Et bien sûr les librairies du groupe Furet du Nord, pour qui c’est un sujet d’intérêt régional.

« Du sang sur les dunes », et 240 pages de vacances en plus

Du sang sur les dunes, polar historique signé Irène Delse, paru le 20 août 2021 aux éditions du 81 (ISBN 978-2-915-54373-5)

« À l’été 1805, le capitaine Antoine Dargent enquête sur la mort mystérieuse d’un ingénieur à Calais, en marge de l’immense armée réunie par Napoléon pour attaquer l’Angleterre. Quand il réalise que les plans de l’ingénieur concernaient un nouveau type d’arme capable de briser la supériorité maritime des Britanniques, il doit rapidement reconstituer les papiers manquants avant d’être lui-même victime d’agents anglais prêts à tout pour tuer dans l’œuf une telle invention… »

C’est la 4e de couverture de mon roman Du sang sur les dunes, un polar historique qui devrait faire rêver même des gens qui connaissent bien la période, car tous les éléments sont vrais… C’est juste leur rapprochement qui relève de la fiction. Je n’en dis pas plus, on verra que le sort de la France sous ce 1er Empire déjà mondialisé se décidait parfois très loin de nos côtes, et que la rivalité technologique n’était pas moins rude que celle sur les champs de bataille. On peut en sourire aujourd’hui, vu les liens d’amitié liés depuis avec les Britanniques (au Brexit près), mais en 1805, l’ennemi numéro un était toujours la « perfide Albion », et sa puissance fascinait autant qu’elle agaçait. Et l’Empire de Napoléon inquiétait lui aussi déjà pas mal de monde.

Un roman à dépayser, donc, que je m’étais bien amusée à écrire. Et si on y trouve des échos de problèmes actuels, ou plutôt éternels (préjugés racistes, confiance ou non dans la vaccination, lanceurs d’alerte qu’on n’écoute pas…), eh bien, ce n’est pas du tout involontaire.

Où le trouver ? Le livre est référencé par la base nationale des libraires, on devrait donc pouvoir le commander dans toutes les librairies ou grandes surfaces culturelles, mais j’ai pu voir qu’il est déjà en stock dans plusieurs Fnac et Cultura, et chez Gibert Joseph (celui de St-Michel et à Barbès)

P. S. Les librairies du groupe Furet du Nord aussi l’ont quasi toutes en rayon, c’est sympa. Et c’est logique.

Lectures d’Halloween

Un bonbon ET un sort !

Vous n’avez pas l’impression de vivre dans un cauchemar ? Moi si, mais à quelque chose, malheur est bon : tout ce stress, ces péripéties, ces espoirs fragiles, lamentations, compassion, colère, c’est du combustible à romans. Dès demain, je me lance à nouveau. En mode NaNoWriMo ? Si on veut. C’est bien l’idée en effet de partager l’énergie du NaNo, mais je me donne 4 mois pour terminer le roman, sans me presser. Tout à fait faisable, même en comptant le fait que je ne suis pas confinée, eh non. Les joies de travailler dans un service public à l’accueil du public et autres besognes non dématérialisables.

On reprend donc la formule qui avait marché cet été : je m’étais alors lancée le 1er juin, en me donnant quatre mois pour écrire un roman de 400.000 signes (environ 240 pages). Mission accomplie : j’ai terminé le premier jet fin août et utilisé le dernier mois à peaufiner et réviser. Le sujet : un roman policier historique qui se passe sous l’empire napoléonien, en 1805 très précisément, dans le cadre du fameux « Camp de Boulogne », les préparatifs pour l’invasion manquée de l’Angleterre. Cette fois, je reprends la même formule et les mêmes personnages principaux (mon détective et quelques compagnons) et je remonte dans le temps de quelques années jusqu’au Directoire, en 1997, dans la période trouble qui sépare la campagne d’Italie de l’expédition d’Égypte. Entre agents royalistes, belles intrigantes, sbires sans scrupules et complots à double et triple fond, il y a de quoi faire.

En attendant, que lire ? Pour Halloween, du sombre et du terrible, bien sûr ! Ci-dessous les liens vers quelques unes de mes nouvelles disponibles en ligne :

Bonne lecture, et n’oubliez pas que Rocambole a tout un catalogue de séries d’horreur, fantastique, thrillers, etc. En plus de tout le reste.