Et cela continue. À ce train, je devrais bientôt avoir terminé un second chapitre!
Mais à ce moment, le sort voulut que nous fussions interrompus par un jeune Kna vêtu d’une longue anbaï blanche bordée de pourpre – la dernière mode à la capitale, à ce que je devais bientôt comprendre. Si j’étais saisi de le voir ici, ce n’était rien à côté de la stupéfaction marquée à mon encontre par Izeyya Dreïminri Ksaïsha !
— Yenshaya ! Que le Ciel me damne… Enfin, monseigneur Shalinka, je veux dire, évidemment ! Je vous demande bien pardon. Si j’avais pu m’attendre…
Je faillis éclater de rire.
— Ksaïsha, Ksaïsha ! Ne fais donc pas l’idiot, je t’en prie, ni le courtisan ! Crois-moi, c’est par là que tu m’offenserais mortellement !